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    Poids sur nos épaules

    DenoelGeraldineDenoelGeraldine
    février 2023 modifié dans LES discussions ACTUELLES
    Bonjour à Toutes et Tous,

    Dans notre pratique ou comme observé hier en séance au Centre à Fribourg, nos patient.e.s expriment souvent "Heureusement que je viens chez vous", "Sans vous, ...", "Il n'y a que vous qui....".

    Même si notre formation nous prépare à comprendre, accueillir et gérer, comment vous protégez-vous et cela surtout si vous n'avez pas la possibilité de travailler en co-thérapie?

    Merci beaucoup et à tout de suite...

    Géraldine

    Réponses

    • RIEDOsRIEDOs
      Exactly this problem was the reason for me to visit this formation and a modul of the CAS Pain in Winterthur. I think, that we have to talk about it, because we all have the same difficulties! And we shouldn‘t try to „heal“ our patients but encourage them to do it themselves! Keyword Empowerment and patent education! Also the discussion about our roles is very important; sometimes its more important to set limits than to be empathetic!
    • NicolasElvinaNicolasElvina
      Bonjour a tous,
      Effectivement je rejoins le commentaire précédent. Je pense que face a ces situations il peut être pertinent de prendre du recul et de "re"signifier au patient qu'il est l acteur principal de cette rééducation.
      Cependant étant dans la situation sans co-therapeute je me question également beaucoup sur ces situations auxquelles je vais également être confrontée.
      En attente d'autres réponses qui nous aideront sans aucun doute

      Elvina
    • DenoelGeraldineDenoelGeraldine
      Merci beaucoup pour vos précieuses réponses !

      Bon retour dans vos familles pour les collègues du Module 4...

      Géraldine
    • GibeauVeronikGibeauVeronik
      février 2023 modifié
      Bonjour à tous,
      Comme appris avec Marc Zaffran alias Martin Winckler au module niveau 4, il faudrait questionner le patient à savoir s'il est d'accord ou non avec nos propositions thérapeutiques. C'est lui qui doit décider de son traitement. "Les soignantes doivent prendre comme mesure que les soignées disent si c'est bon ou pas pour lui. Ce n'est pas moi qui dit que c'est bon, c'est le soigné qui le dit".
      S'affranchir du devoir et pouvoir, laisser de côté nos bonnes intentions pour ne pas se fatiguer.
      Personnellement, j'en parle aussi, je fais de la méditation pleine conscience et je marche.
      En espérant que cela peut vous aider.
      Bonne journée à toutes et à tous
      Véronik,
      Qui vient de quitter le module niveau 4 avec des tonnes d'informations et de pistes de réflexions pour continuer la belle méthode RSD
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