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Un argument de plus pour poursuivre la méthode de RSD
Chères toutes, chers tous,
Je viens de vous proposer le lien vers l'infographie du mois, la 9e du nom.
Elle décrit quelques caractéristiques des 650 médecins suisses qui nous ont référé un·e patient·e ou bien plus ces 17 1/2 dernières années. Certain·es patient·es ont fait 560 km de route (2 x 280).
En espérant que celà puisse vous aider. Dans tous les cas, nous allons en glisser une copie dans l'enveloppe de tous les prochains rapports envoyés dans les semaines à venir.
Toute belle découverte et M E R C I à Florine et à toutes et tous les employé·es du Centre depuis juillet 2004.
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Réponses
Bravo et merci à l'équipe du centre de Fribourg pour cette compilation de données et son partage.
Cela m'amène à une réflexion quand on voit la disparité des prescripteurs entre la médecine générale et la chirurgie. 2 mondes celui du nom invasif et des approches non médicamenteuses. Cela bouge toutefois nous avons encore du monde à convaincre et j'espère que cette synthèse nous y aidera.
Encore merci.
Maéva
Je suis impressionné des kilomètres parcouru pour venir se faire soigner. C'est dire combien ces personnes aussi bien patients que médecin croient en cette rééducation. C'est extrêmement encourageant.
Les différents domaines amènent également à la réflexion lorsqu'on met en parallèles les situations que nous pouvons rencontrées et ce rapport.
Merci pour ce travail riche d'espoir.
Elvina
Bonsoir à toutes et tous,
Poursuivre la méthode de RSD, c'est le cas de le dire...lui courir après, sur ses deux pieds, en chaise roulante, en béquille, la main immobilisée, en train, en voiture, en bus, en avion...à tout prix, et malgré les kms!
Je trouve les statistiques très encourageantes aussi, allant notamment dans le sens d'une conscience/solidarité interdisciplinaire qui fait vraiment plaisir. Quel travail! Merci à Florine et Claude.
Il existe aussi le cas aussi où un.e thérapeute en rééducation sensitive va jusqu'où iel peut et donne le meilleur de sa pratique, puis, parfois décide de déléguer avec humilité et sagesse son "cas" stagnant, souvent complexe, à un.e/des collègue.s, même si se déplacer n'est pas simple pour le/la patient.e.
Le courant passe.
Estelle