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https://neuropain.ch/sites/default/files/e-news/della_casa_guesteditorial_somatosens_pain_rehab_19_1_2022_0.pdf
AVANT-PREMIERE l'éditorial de notre 71e volume est en ligne
Depuis 2006, Rebekah DELLA CASA participe activement aux destinées de notre communauté de pratique. L'an passé, elle a accepté le défi d'être éditrice invitée de notre 71e volume le 19(1) 2022.
Nous venons de le mettre en ligne en avant-première
Enjoy your reading
CJ Spicher, Editor-in-Chief
PS: le volume en entier sera en ligne le 25 février, comme à chaque saison
Réponses
Bonjour à toutes et tous !
Un grand merci Claude pour cette invitation à découvrir le superbe éditorial de Rebekah !
Et wahou !!! Félicitations Rebekah pour le partage de ton expérience vécue depuis ta découverte de notre méthode jusqu'à ce jour, où tu es une des thérapeutes les plus expérimentées de notre communauté de pratique...
Merci beaucoup pour cet article très enrichissant qui nous plonge au coeur de notre pratique et qui fait tant de lien au travers de ton témoignage...
Bonne lecture !
Géraldine
Chère Rebekah,
chères lectrices et chers lecteurs,
Réinterroger certaines évidences (comme par exemple "le mouvement fait forcément du bien" ou encore "Doing is of much more value than Being" ), oser laisser derrière soi nos façons habituelles, voire mécaniques de fonctionner.
Merci Rebekah de nous dévoiler les étapes d'évolution de ta compréhension de la méthode de rééducation sensitive.
Très émouvant aussi de lire sous ta plume ta fine compréhension de l'enfer et de la détresse qu'implique une névralgie incessante.
"the co-existence of touch evoked pain (mechanical allodynia) and spontaneous pain (neuralgia) as well as the possible existence of spontaneous pain in the absence of touch evoked pain. This is where, I think, many of us get confused." Affronter le complexe, tissé de données apparemment contradictoires. Qu'en pensez-vous?
Le dépassement extraterritorial des douleurs neuropathiques, voire leur invisibilité objective pour certaine.s patient.e.s, les contradictions qu'elles renferment (une absence paradoxalement hyperprésente) exige sans doute un dépassement du territoire assigné en principe à un thérapeute de telle ou telle spécialité, ou peut-être une mise en relation des thérapeutes qui co-soignent...
Il en va aussi dans ton article, Rebekah, de prendre au sérieux toute description de la part des patients qui confient leur réalité douloureuse, aussi in-objectivable soit elle : “pain” for which the cause can often not be brought to evidence through traditional medical imagery and other clinical testing...
"The presence of somatic alteration, although it has stayed invisible until now."
Ce corps meurtri est un corps habité et animé, même s'il fait évidemment aussi l'objet de tests et cartographies précises : "livingsubjects" / "Questioning ourselves about to whom the portion of skin we are assessing belongs too is of great importance."
Patients need to be taught to “do less” and “be more” in order to get better. Je coincide complètement, même si la route est longue.
Bonne lecture,
Estelle
Bonsoir à toutes et tous,
je rejoins les commentaires ci dessus. L'article de Rebekah est très éclairant : on perçoit bien la progression de la **théorie **à la **pratique **et comment développer sa pratique.
Bonne lecture à tous
Valérie